À Hugues II de Salins, le 27 mars 1655
Note [1]
« ce que Dieu veuille perpétuer » ; quod anima plaudit « ce que mon âme applaudit » dans Reveillé-Parise, bien que le fac-similé partiel qu’il fournit du manuscrit porte distinctement quod utinam perennet !
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