À Charles Spon, le 16 novembre 1655
Note [1]
« où s’insinuerait pour vous moins de répugnance à les lire. »
Charles Spon – comme le ferait volontiers après lui tout transcripteur moderne des lettres manuscrites – s’était sans doute plaint à Guy Patin de la difficulté qu’il éprouvait souvent à le lire, principalement en raison des bavures de l’encre sur le papier et de son imprégnation importune du recto sur le verso. Il faut convenir que, de ce point de vue, la présente lettre ne présente aucun défaut (contrairement, en effet, aux trois précédentes écrites à Spon) ; on peut même constater que l’écriture en est inhabituellement appliquée et lisible.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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