À Charles Spon, le 12 novembre 1657
Note [1]
L’annotation de Charles Spon au verso de la lettre précisait que le jeune médecin dénommé Monin (v. note [27], lettre 500) était de Serrières (v. note [18], lettre lettre de Spon datée du 5 mars 1658), sur la rive droite du Rhône, c’est-à-dire dans le Vivarais, et non le Dauphiné (rive gauche), comme Guy Patin l’écrivait ici par erreur de voisinage géographique.
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