À André Falconet, le 21 septembre 1660
Note [1]
« savoir lavement, saignée, boisson d’eau froide et topique anodin [v. note [12], lettre 803] ». Dans les lettres de 1649 à 1653, Guy Patin a plusieurs fois parlé à André Falconet de ses coliques néphrétiques ; sa lithiase le faisait de nouveau souffrir (avec l’espoir raisonnable d’une guérison rapide).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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