À André Falconet, le 20 mars 1667
Note [1]
Déprix, comme l’indique sa mise en italique dans Bulderen, ne se trouve dans aucun dictionnaire et semble être un synonyme de dépréciation. Sinon, par ignorance d’un vieux mot du droit féodal, le transcripteur initial a pu remplacer « dépri » par « déprix des monnaies ». Dépri s’accorde en effet mieux avec la phrase qui précède : c’était la déclaration, au bureau des aides, du vin et autres denrées qu’on souhaitait transporter pour les vendre, en vue d’en payer les taxes après qu’on les avait vendus.
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