De Charles Spon, le 20 février 1657
Note [1]
« L’homme serviable a toujours des amis ingrats » : Charles Spon reprenait le vers de Martial que Guy Patin lui avait appris dans sa lettre du 13 juillet 1649 (v. sa note [26]).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.