À Claude II Belin, le 15 mai 1641
Note [10]
« On appelle amende honorable une peine afflictive qui emporte note d’infamie, quand on est condamné d’aller nu en chemise, la torche au poing et la corde au cou, devant une église, ou dans un auditoire, demander pardon à Dieu, au roi et à la justice, de quelque méchante action » (Furetière).
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