À Johannes Antonides Vander Linden, le 31 août 1657
Note [10]
Ce mot grossier ne se lit certes pas sous la plume française de Guy Patin, mais je n’ai pas trouvé meilleure façon de traduire et sa pensée, et l’adjectif stercoreus (trouvant « excrémentiel » bien vieilli et trop guindé).
V. supra note [4], pour les Observationes de Lazare Rivière, que Patin éclaboussait ainsi de son mépris.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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