Note [10]
Le vieux prêtre, pauvre et malade, dénommé Voullemin bénéficiait pour la seconde fois de la générosité académique ; mais à sa première apparition (point 6 de la délibération du 29 mai), Guy Patin l’avait appelé Voulleni. Ces deux patronymes ne correspondent à aucun ecclésiastqiue que je sois parvenu à mieux identifier.
V. note [6] des Affaires de l’Université en 1650‑1651 pour les 30 livres tournois qu’elle avait généreusement octroyées, le 5 novembre 1650, à ce Crassot qu’elle tenait désormais pour un usurpateur.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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