À André Falconet, le 4 février 1650
Note [11]
« Le beau savoir n’a plus d’espérance et de raison d’être qu’en cette princesse ; elle seule en effet, dans le siècle où nous sommes, a prêté intérêt aux Camènes affligées » ; adaptation à la reine de Suède des vers de Juvénal (Satire vii, vers 1‑3) :
Et spes et ratio studiorum in Cæsare tantum.
Solus enim tristes hac tempestate Camenas {a}
respexit.
- Camenæ, les Camènes, assimilées aux Muses.
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