À Charles Spon, le 26 juillet 1650
Note [11]
« il lui a fallu s’en aller là-bas d’où, dit-on, nul ne revient » ; Catulle (Poèmes, iii, vers 11‑12) :
Qui nunc it per iter tenebricosum
[Et maintenant, il va par la route ténébreuse là d’où, dit-on, nul ne revient].
illuc, unde negant redire quemquam.
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