À Charles Spon, le 23 février 1657
Note [11]
« On dit qu’un comédien a le jeu beau quand il a bonne mine, qu’il a le geste et l’action belle, la parole libre, enfin quand il joue bien son rôle » (Furetière).
V. note [34], lettre 207, pour Henri Riolan, l’avocat, second fils de Jean ii, qui avait engagé un procès contre lui.
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