À André Falconet, le 30 mai 1664
Note [11]
« car les traces qu’il laisse m’épouvantent » ; Horace (Épîtres, livre i, lettre 1, vers 74‑75, paroles du renard rusé au lion malade) :
Quia me vestigia terrent,
[Parce que ces traces me font peur, toutes allant vers toi et aucune ne revenant].
omnia te adversum spectantia, nulla retrorsum.
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