À Charles Spon, le 18 juin 1652
Note [12]
« et parmi tous ces atermoiements, Sagonte est prise »
Cette fois (v. note [40], lettre 288) Guy Patin n’employait plus le subjonctif (capiatur), mais l’indicatif présent (capitur) car, après la levée du siège d’Étampes, le 7 juin, et la prise de Gravelines, le 18 mai (v. note [41], lettre 285), on s’inquiétait des menaces que les Espagnols faisaient peser en Catalogne sur Barcelone, en Flandre sur Dunkerque et en Piémont sur Casal.
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