À André Falconet, le 28 janvier 1661
Note [12]
Peinant fort à concevoir qu’on pendît un surintendant des finances et procureur général du Parlement de Paris pour une telle altercation, j’ai remplacé « pendu », qui est dans les précédentes éditions, par « perdu ».
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.