À André Falconet, le 5 novembre 1649
Note [13]
« d’une fièvre pétéchiale », c’est-à-dire de fièvre accompagnée de pétéchies, autrement dite pourprée (v. note [56], lettre 229) : « Espèce de pourpre, taches qui s’élèvent sur la peau dans les fièvres malignes et pestilentielles » (Académie) ; Littré DLF précise que le nom de « fièvre pétéchiale » est « donné quelquefois au typhus » et que le mot pétéchies vient de l’italien petecchie, « du latin du xve s. pestichiæ, de pestis, peste, parce que la peste s’accompagne souvent de pétéchies ».
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