À Hugues II de Salins, le 31 octobre 1656
Note [13]
« composés d’oxycrat {a} tiède, ou de l’urine refroidie du malade lui-même ; la saignée fait ici plus souvent la pluie et le beau temps, {b} plus encore si elle est répétée, en raison de la plénitude des vaisseaux, de la putréfaction, du rhumatisme, de la douleur, et surtout d’une sorte de virulence qui est coutumière dans cette maladie. »
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