À Sebastian Scheffer, le 24 février 1663
Note [14]
« Même si la gloire doit me venir après la mort, je ne suis pas pressé » (v. note [8], lettre 164).
Guy Patin a émis des avis mitigés sur son collègue Jean Merlet (v. note [39], lettre 101) : la causticité de l’éloge funèbre dont il l’honorait en atteste.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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