Note [141]
Rien ne permet de savoir si Guy Patin a subi la honte et le chagrin d’être présent lors de cette réunion de la Faculté, le 9 février 1669 ; mais le même jour, il écrivait une lettre latine à Gottlieb Breüning, médecin de Stuttgart, pour le remercier chaleureusement du « somptueux et généreux accueil » qu’il avait réservé à son « fils C.P. ».
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.