À Charles Spon, le 10 mars 1648
Note [15]
« Quelques-uns croient qu’il y a des vrais loups-garous, qui sont des loups qui ne mangent que de la chair humaine depuis qu’ils y sont une fois acharnés [qu’ils y ont pris goût] et qui sont fort furieux ; de sorte que ce mot vient de ce que c’est un loup dont il se faut garer ou garder. Aussi en quelques lieux on l’appelle guereloup. Pline se moque de ceux qui croient que quelques hommes étaient transformés en loups-garous » (Furetière).
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