À Charles Spon, le 13 mars 1657
Note [15]
« où le plus grand secours est la saignée itérative des deux veines basiliques, {a} qui produit un sang entièrement corrompu et de couleur plombée. »
- Conformément aux conceptions antérieures à la découverte de la circulation du sang, on qualifiait ces deux veines d’hépatique au bras droit et de splénique au bras gauche, en raison de leurs liens supposés avec les viscères (v. note [3], lettre 144).
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