À Heinrich Meibomius, le 24 juillet 1664
Note [15]
« La thériaque n’est donc bonne à rien », « La thériaque est donc un poison dans la fièvre pestilentielle ».
V. note [1], lettre 1001, pour cette dernière thèse que Guy Patin présida, le 5 mars 1671, qui fut la cardinale de Jean Cordelle : Estne Theriaca pestilenti febre iactatis venenum ? [La thériaque n’est-elle pas un poison pour ceux qui sont frappés de fièvre pestilentielle ?] (conclusion affirmative).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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