Note [150]
L’amnistie royale de 1681 (v. supra note [145]) lavait entièrement Charles Patin de sa condamnation et imposait, « sur ce, silence perpétuel à notre procureur général, à ses subsitituts et à tous autres ».
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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