À Charles Spon, le 1er mars 1650
Note [17]
« On dit proverbialement gueux comme un peintre, mais ce proverbe est devenu faux en ces derniers jours où la peinture a été cultivée et anoblie. […] Il est gueux comme un rat d’église, c’est-à-dire, il est si pauvre qu’il n’a pas de quoi manger » (Furetière).
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