Annexe : La bibliothèque de Guy Patin et sa dispersion
Note [17]
« En termes du Palais, on appelle paraphé ne varietur un acte important qu’on collationne, sur lequel il y a quelque contestation ou inscription en faux à appréhender. Chacune des parties le paraphe avec l’officier afin qu’on n’en puisse pas supposer un autre en sa place » (Furetière).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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