À Charles Spon, le 21 septembre 1655
Note [18]
« Malheurs à ceux qui sont vaincus [v. note [24], lettre 360] par la longueur de leur maladie, liée à son excessive crudité. »
La maladie classique (hippocratique) se déroulait en trois temps, crudité, coction et crise ; le prolongement de la crudité annonçait une issue néfaste, car il traduisait le fait que le corps se défendait mal contre la maladie.
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