À Charles Spon, le 26 décembre 1656
Note [18]
« je connais absolument jusqu’au bout des ongles [Perse, v. note [16], lettre 7] cet éminent esclave de cour, extrêmement madré et rusé. »
Bien que le feu Charles Guillemeau fût un de ses très vieux amis et l’un des plus zélés ennemis des antimoniaux, Guy Patin l’accablait ici de reproches à cause de sa trop grande complaisance envers les gens de la cour, quand Patin, lui, les méprisait profondément, mais non sans une nuance d’envie.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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