À André Falconet, le 4 mai 1663
Note [18]
« de par le droit antique et ancestral qui établit une totale communauté de sentiments [xumpatheia panta] entre prélats, grands du royaume et médecins. »
Par ce précepte (auquel je n’ai pas trouvé de source), Guy Patin justifiait le déni quasi absolu du secret médical qui meuble toute sa correspondance. V. note [8], lettre 863, pour la mort de la maréchale de Turenne, Charlotte de Caumont de La Force.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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