À Charles Spon, le 30 novembre 1655
Note [19]
Ironie de Guy Patin sur la signature du traité de Westminster (3 novembre, v. note [5], lettre 424) entre l’Angleterre hérétique et la France catholique, qui autorisait cette dernière à concentrer toutes ses forces contre l’Espagne, au grand dam du pape.
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