À Charles Spon, le 22 mars 1650
Note [2]
Mme de Motteville (Mémoires, page 338) :
« Le cardinal […] crut qu’il était de sa prudence de contenter cette cabale et de donner quelque autorité à Châteauneuf, afin de leur faire voir à tous qu’il était en état de ne rien craindre. […] Il espéra que le garde des sceaux de Châteauneuf, comme habile courtisan, venant à connaître qu’il ne pouvait avoir la première place, {a} se contenterait de la seconde et que, peut-être, il se servirait de lui pour modérer l’ardeur impétueuse de la Fronde. »
- Celle de Mazarin lui-même.
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