À Charles Spon, le 2 août 1652
Note [21]
« Lorsque le mauvais sort emporte les hommes de bien, etc. » ; Ovide (Les Amours, livre iii, élégie ix, vers 35) :
Cum rapiunt mala fata bonos – ignoscite fasso ! –
[Lorsque le mauvais sort emporte les hommes de bien – pardonnez-moi cet aveu ! – je suis enclin à penser que nul dieu n’existe].
Sollicitor nullos esse putare deos.
Vite lu, l’« etc. » de Guy Patin pourrait passer pour un honteux aveu d’athéisme (v. note [38], lettre 477), mais ce serait ignorer que son trouble lui a, dit-il, « presque fait touner la tête ».
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