À Claude II Belin, le 4 novembre 1631
Note [22]
« Je n’entends non plus cela que le haut allemand, c’est-à-dire, que c’est une chose qui n’est point intelligible » (Furetière).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.