Note [22]
V. note [7], lettre 257, pour la libération des princes de Condé et de Conti, contemporaine du premier exil de Mazarin. Guy Patin ne mentionnait pas ici le duc de Longueville, leur beau-frère, qui les avait accompagnés dans leur captivité.
La soumission de l’Université à ce séisme politique ne prouve pas nécessairement qu’elle adhérait au parti frondeur : elle était du moins tenue, comme l’ensemble des institutions du royaume, de suivre, bon gré mal gré, les caprices de son courant dominant.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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