À Charles Spon, le 8 janvier 1650
Note [24]
« le nombre impair plaît à Dieu » (Virgile, Bucoliques, églogue viii, vers 75).
Se moquant d’un médecin dans Monsieur de Pourceaugnac (acte i, scène 8), Molière lui fait dire aussi sentencieusement que sottement :
« Tout ce que j’y voudrais ajouter, c’est de faire les saignées et les purgations en nombre impair : Numero Deus impare gaudet. »
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