À Charles Spon, le 15 septembre 1654
Note [24]
« Il n’est pas encore mort, mais on pense qu’il va mourir. Chaque jour en effet lui reviennent des frissons désordonnés et fréquents, ce qui, selon Hippocrate, est la preuve la plus certaine d’une mort imminente, comme l’issue le confirmera d’un jour à l’autre. » Guy Patin a ajouté ce rectificatif latin, écrit d’une encre plus grasse que le reste de son post-scriptum. La lettre suivante annonce la mort de Joyeuse, le matin du 27 septembre.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.