À Charles Spon, le 22 mars 1650
Note [25]
« Les grenades en général ont un bon suc et sont propres pour l’estomac. Les douces sont bonnes aux toux opiniâtres. Les aigres sont froides, astringentes et stomachiques, on s’en sert principalement dans les fièvres bilieuses. Les grenades vineuses ont une nature moyenne entre les douces et les aigres, elles sont cardiaques et céphaliques » (Trévoux).
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