À Charles Spon, le 4 décembre 1651
Note [25]
« Ce même jour il y a neuf ans [le 4 décembre 1642] l’éminentissime cardinal et le très cruel tyran Richelieu est parti pour l’autre monde ; s’il n’était jamais né, ç’aurait été le mieux pour nous. »
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.