À Charles Spon, le 29 mai 1648
Note [26]
« La médecine se satisfaisait jadis de quelques plantes, les Grecs eux-mêmes n’utilisaient que très peu de remèdes ; la multiplicité des remèdes est la fille de l’ignorance [Francis Bacon, v. note [23], lettre 601] ; les sages viennent à bout de beaucoup de maux avec peu de remèdes, composés selon la loi de la Nature ».
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