À Charles Spon, le 28 septembre 1655
Note [26]
« sans quoi, un excellent homme serait étouffé et cesserait de vivre […] tout à fait digne d’une plus longue vie, et même de l’éternité, si la volonté de Dieu l’autorisait et si la nature le permettait à l’homme. Vale. »
Le coin inférieur droit de ce post-scriptum est amputé par une petite déchirure du manuscrit.
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