À Charles Spon, le 23 février 1655
Note [27]
« si nous les préservons chacune de l’horrible tabès [v. note [9], lettre 93], on peut espérer une autre issue ; et nous espérons qu’il restera bien assez de santé à cet homme de grande qualité et très éminent philosophe que nous aimons. » Les entrailles nourricières sont les intestins.
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