À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658
Note [27]
« Dans certaines maladies chroniques, principalement dans l’état de convalescence, il a plu à certains médecins, pour se rendre agréables aux pharmaciens, de mélanger en une fois trois sirops cathartiques : cinq scrupules de sirop de roses, de fleurs de pêcher et de chicorée avec de la rhubarbe ; ces trois sirops mélangés ensemble en parties égales sont placés dans une fiole de verre et conservés à disposition. Et voilà ce qu’on appelle le sirop magistral. »
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