À Charles Spon, le 19 juin 1643
Note [29]
« Est insensé celui qui, ayant tué le père, permet à ses enfants de vivre » : Stultus qui patre cæso liberis pepercit [Est fou celui qui, ayant assassiné le père, a épargné les enfants] dans Érasme (Adages, no 953), qui a donné plusieurs variantes latines de ce proverbe, dont il attribue la paternité à Aristote : και τους ελους αναιροιν, ων και τους πατερας.
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