À Charles Spon, le 16 août 1650
Note [29]
« dont on bride et flatte l’esprit des femmelettes. » Rome ayant inscrit les œuvres d’Ovide à l’Index librorum prohibitorum [Index des livres interdits] (v. notule {c}, note [30] du Naudæana 2), un catholique avait besoin d’une dispense du pape pour les lire.
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