À Claude II Belin, le 31 janvier 1651
Note [3]
Prêter le collet à quelqu’un se dit « tant au propre, pour dire qu’on se battra contre lui corps à corps, qu’au figuré, pour dire qu’on lui tiendra tête en toutes sortes de disputes et de contestations » (Furetière).
V. note [30] de L’ultime procès de Théophraste Renaudot…, pour Antoine Madelain.
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