À André Falconet, le 4 décembre 1665
Note [3]
V. note [64], lettre 101, pour le Nez pourri de Théophraste Renaudot. Guy Patin se plaisait ici à écorcher son prénom en Cacophraste : procédé qu’il a pareillement appliqué à Paracelse (Philipp Theophrast von Hohenheim), v. note [3], lettre latine 94 (avec l’explication sémantique de ce sarcastique jeu de mots).
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