À André Falconet, le 27 mai 1667
Note [3]
Ce compliment surprend sous la plume de Guy Patin, qui ne prisait guère les romans : était-il ironique, ou les premiers transcripteurs de ses lettres ont-ils édulcoré son sentiment ? V. notes [68] et [69], lettre 336, pour Georges de Scudéry et sa féconde production romanesque, en coopération avec sa sœur Madeleine.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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