À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 février 1656
Note [3]
« grâce à toi, ma Muse ! » ; Ovide (Tristes, livre iv, élégie 10, vers 117) :
Gratia, Musa, tibi : nam tu solacia præbes ;
[C’est grâce à toi, ma Muse ! car c’est toi qui me consoles, toi qui apaises mon désespoir, toi le remède de mon mal].
Tu curæ requies, tu medicina mali.
Sa pratique médicale était la Muse qui mettait (encore) Guy Patin à l’abri du besoin en 1655.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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