À Johannes Antonides Vander Linden, le 23 février 1657
Note [3]
« Puisqu’un destin cruel emporte les bons, etc. » (Ovide, v. note [21], lettre 292).
V. note [1], lettre latine 50, pour le précieux exemplaire de Celse, annoté par Jules-César Scaliger que possédait Jean ii Riolan. Guy Patin voulait absolument l’obtenir le prêter à Johannes Antonides Vander Linden, espoir dont il devait désormais faire son deuil avec celui de son mentor.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.