À Johann Daniel Horst, le 6 janvier 1666
Note [3]
Ce passage est à l’indicatif présent dans le manuscrit (habet, sunt), mais je l’ai traduit au conditionnel car Guy Patin a blâmé ailleurs les savantes circonlocutions (squirre, scrofules) des médecins auliques pour voiler le cancer d’Anne d’Autriche, et rassurer son entourage royal (qui ne demandait qu’à en ignorer le pronostic fatal).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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