À Sebastian Scheffer, le 15 juillet 1667
Note [3]
Les mots en italique sont en français dans le manuscrit.
Alertée par le syndicat des libraires parisiens qui redoutait une nouvelle contrebande des Patin, la douane ne pouvait laisser entrer sans preuve formelle de leur parfaite légalité les livres qu’ils recevaient d’Allemagne. V. notes :
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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